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Vivre sans images dans la tête

Vivre sans images dans la tête
mercredi 8 juillet 2015, 15:16
Que se passe-t-il dans votre esprit lorsqu'on vous demande de répondre aux questions suivantes: "Quelle est la forme de la Tour Eiffel?", "De quelle couleur est la peau de Hulk, le super-héros?", "Qui, d'un éléphant ou d'un lion, est le plus gros?".
Imaginez que vous soyez incapable de visualiser mentalement la réponse. Pour le dire autrement, que votre imagination soit aveugle. C'est totalement impossible, me direz-vous. Et bien détrompez-vous! Certaines personnes ne peuvent pas construire de représentations mentales visuelles, parfois depuis la naissance! Elles présentent un syndrome, aussi étrange que méconnu, que des médecins et neuro-psychologues britanniques viennent de décrire chez un petit nombre d'individus dans un article paru en ligne dans la très sérieuse revue Cortex.
Ces chercheurs viennent de baptiser cette condition médicale "aphantasie", du grec φαντασια ("Phantasie"), imagination, pour signifier que ces sujets connaissent une absence de leur imagerie mentale volontaire.
Tout commence en 2010 lorsque le neurologue Adam Zeman de la Faculté de médecine d'Exeter (Royaume-Uni) et des neuro-psychologues du département des neurosciences cognitives humaines de l'Université d'Edinbourg rapportent dans la revue Neuropsychologia le cas d'un patient de 65 ans, baptisé MX (initiales modifiées en réalité). Cette personne a commencé à présenter ce syndrome quatre jours après avoir subi une angioplastie coronaire, un geste consistant à dilater de l'intérieur une artère du cœur obstruée.
Au cours de cette intervention, il avait ressenti une brève répercussion dans sa tête et dans son bras gauche. Les auteurs estiment que ce patient a sans doute fait alors un "subtil événement ischémique" (un bref accident vasculaire cérébral affectant probablement l'hémisphère droit), ayant eu pour conséquence une dissociation entre les régions cérébrales antérieures nécessaires à la production des images mentales et les régions postérieures notamment impliquées dans leur perception.
Le patient MX est alors devenu subitement incapable de faire apparaître consciemment des images mentales, comme celles d'amis ou de proches. Il ne présente pourtant pas de déficit cognitif. Les examens neurologiques, ophtalmologiques et psychiatriques sont normaux. Ce géomètre à la retraite, habitué durant toute sa vie professionnelle à se représenter dans son esprit toutes sortes d'habitations, a soudainement perdu la capacité de générer des images visuelles intérieures, aussi bien volontairement que spontanément. A tel point que ses rêves sont devenus vides de contenu visuel. A peine croyable!
A la lecture d'un article sur un site américain de vulgarisation scientifique, plusieurs personnes réalisent qu'elles sont sans doute atteintes de ce trouble mystérieux. Au total, ce sont 21 individus (en majorité des hommes) qui vont contacter par mail le journaliste scientifique Carl Zimmer. Il transmet tous les courriels aux chercheurs britanniques, qui avaient par ailleurs été contactés de leur côté.
Ceux-ci décident alors d'expédier à toutes ces personnes une liste de questions spécialement conçues pour l'occasion ainsi que le VVIQ, un questionnaire incontournable en psychologie cognitive et en psychopathologie clinique dans l'évaluation de la vivacité des images mentales. C'est à partir des données recueillies que ces spécialistes ont entrepris de décrire les caractéristiques de cet étonnant syndrome.
Il ressort que ces individus souffrent effectivement d'une incapacité à construire des images mentales. Ils précisent en avoir pris conscience lorsqu'adolescent ou jeune adulte, au cours d'une conversation ou d'une lecture, ils ont réalisé qu'ils ne pouvaient "voir" ce que les autres pouvaient aisément se représenter. Comme cet étudiant de 25 ans qui ne comprenait absolument pas comment son amie pouvait se rappeler un an plus tard de la tenue vestimentaire d'une connaissance commune.
Il manque à ces personnes pour ainsi dire un œil dans le cerveau (mind's eye). Elles sont dépourvues d'imagerie mentale, cette forme singulière de représentation permettant à l'esprit humain d'éprouver consciemment une expérience quasi-sensorielle. En effet, quoi de plus naturel lorsque vous pensez à un objet, ou que vous essayez de vous souvenir d'un événement récent, que de produire mentalement une image plus ou moins vivace.
De même, si l'on vous demande de quelle couleur sont les yeux de vos enfants ou ceux de votre mère, il est plus que probable que vous visualisiez intérieurement une image au moment même où vous répondez, alors même que vous connaissez évidemment la réponse. C'est cette capacité à produire des images mentales volontaires qui manque aux individus atteints d'aphantasie. Les activités inconscientes d'imagerie mentale peuvent cependant être préservées. Dix sujets ont ainsi déclaré ressentir spontanément des "flashs" lorsqu'ils sont éveillés ou lorsqu'ils rêvent.
Par ailleurs, 14 des 21 participants ont indiqué avoir du mal à se souvenir d'événements autobiographiques. Ces déficits étaient toutefois compensés par une importante capacité en expression orale, en mathématiques et en logique. Répondre à la question "Combien y a-t-il de fenêtres dans votre maison ou votre appartement"  n'implique pas pour ces sujets qu'ils dessinent mentalement l'objet concerné et qu'ils "voient" cette image mentale. Ils y parviennent, disent-ils, parce qu'ils "le savent", "s'en souviennent" ou qu'ils font appel à des représentations non-visuelles. Lesquelles? Mystère…
De nombreuses questions restent en suspens, soulignent les chercheurs. Quelle est la fréquence de l'aphantasie congénitale?
Cette absence d'imagerie mentale volontaire depuis la naissance s'accompagne-t-elle d'autres perceptions sensorielles augmentées (synesthésie) ou d'un trouble de la reconnaissance des visages (prosopagnosie congénitale)? Quel est l'impact de l'aphantasie sur la personnalité de l'individu et son humeur? Existe-t-il plusieurs formes de ce syndrome?
On peut espérer que les techniques modernes d'imagerie médicale permettront de mieux comprendre les anomalies cérébrales qui sous-tendent l'aphantasie. En 2010, l'IRM fonctionnelle du patient MX avait montré une activation cérébrale différente de celle des sujets contrôles lors d'une tâche consistant à faire appel volontairement à son imagerie mentale, en l'occurrence à imaginer le visage d'une personne connue dont il entendait le nom. Les chercheurs britanniques avaient enregistré chez MX une activation réduite des régions cérébrales postérieures en même temps qu'une augmentation de l'activité des régions frontales. Des résultats  interprétés comme une tentative de compenser le déficit d'imagerie mentale volontaire par un effort cognitif plus important par rapport aux sujets normaux.

"L'intelligence artificielle pourrait mettre fin à la race humaine"

mercredi 3 décembre 2014, 09:49
Stephen Hawking
ENCORE UNE FOIS: j'ai raison
http://www.legende-des-siecles.com/futur/index.html
L'astrophysicien britannique Stephen Hawking a averti que le développement de l'intelligence artificielle pourrait signifier la fin de l'humanité. Dans un entretien avec la BBC, le scientifique a déclaré que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l'humanité, un scénario comparable à celui des films Terminator ou 2001, l'odyssée de l'espace, ou du roman Robopocalypse.
"Les humains seraient dépassés"
"Les formes primitives d'intelligence artificielle que nous avons déjà se sont montrées très utiles. Mais je pense que le développement d'une intelligence artificielle complète pourrait mettre fin à la race humaine", a affirmé le professeur dans cet entretien. "Une fois que les hommes auraient développé l'intelligence artificielle, celle-ci décollerait seule, et se redéfinirait de plus en plus vite", a-t-il déclaré.
"Les humains, limités par une lente évolution biologique, ne pourraient pas rivaliser et seraient dépassés", a poursuivi M. Hawking, considéré comme un des plus brillants scientifiques vivants.
Un des premiers à être "connecté" à Internet
Il reste en faveur des nouvelles technologies de communication et a déclaré avoir été un des premiers à être "connecté" aux débuts d'Internet. M. Hawking a déclaré qu'Internet avait apporté à la fois des dangers et des bénéfices, citant un avertissement du nouveau chef de l'agence d'espionnage électronique britannique GCHQ, selon lequel Internet était devenu un centre de commandement pour criminels et terroristes.
"Les entreprises d'internet doivent faire plus pour contrer la menace, mais la difficulté est de le faire sans sacrifier la liberté et la vie privée", a soutenu l'astrophysicien âgé de 72 ans.
Il a affirmé ne pas vouloir changer sa voix robotique
Atteint de la maladie de Charcot, autrement appelée sclérose latérale amyotrophique ou SLA, Stephen Hawking se déplace en fauteuil roulant et parle à l'aide d'un ordinateur. Il a annoncé mardi que son système de communication, amélioré par le groupe américain Intel, serait accessible gratuitement à la communauté scientifique en janvier 2015.
Tout en saluant les progrès, le scientifique a affirmé ne pas vouloir changer sa voix robotique, qui provient d'un synthétiseur conçu initialement pour un service d'annuaire téléphonique. "Cette voix était très claire bien qu'un peu robotique. Elle est devenue mon signe distinctif et je ne la changerais pas pour une voix plus naturelle avec un accent britannique", a-t-il dit à la BBC. "Apparemment les enfants qui ont besoin d'une voix synthétique en veulent une comme la mienne".
OUI, ALLEZ LIRE ET ECOUTER MES AVERTISSEMENTS
http://www.legende-des-siecles.com/futur/index.html

La vie après la mort

Galaxy Whirpool
lundi 25 novembre 2013, 14:49
Il y a une vie après la mort, selon un scientifique américain
La vie, la mort, l'univers... Le professeur américain Robert Lanza a une théorie aux antipodes de ce que l'on pense savoir sur la vie après la mort. Enfin, c'est ce qu'il dit.
La vie après la mort... Vaste question, à laquelle le professeur Robert Lanza apporte (enfin) une réponse. Il explique sur son site: "on pense que la vie, c'est juste l'activité du carbone et un mélange de molécules - on vit un moment et puis on pourrit sous la terre", rapporte le Daily Mail.
Le professeur à l'école de médecine de Caroline du Nord, dont la théorie s'appuie sur le biocentrisme, veut que la mort ne soit peut-être pas aussi définitive qu'on le pense.
En tant qu'humains, analyse le scientifique, "on nous a appris que nous allons mourir, ou plus exactement notre conscience associe la vie au corps et l'on sait que les corps meurent".
Une infinité d'univers
En gros, pour Robert Lanza, l'espace et le temps sont des vues de l'esprit. C'est la vie qui crée l'univers et non l'inverse. Une fois accepté cela, la mort et l'idée de l'immortalité évoluent dans un monde sans frontières spatiales ou linéaires.
Les adeptes de la physique théorique pensent qu'il existe une infinité d'univers, dans lesquels se produisent différentes situations de façon simultanée. Dans cette pluralité d'univers ou multivers, tout ce qui peut arriver est en train de se produire quelque part dans un de ces univers. Pour Lanza, cela signifie que la mort ne peut exister. CQFD.

Mort imminente

mercredi 21 août 2013, 10:05
Il arrive parfois que des personnes ayant réchappé à un arrêt cardiaque se souviennent de cet épisode où leur vie a failli s'arrêter comme d'un moment extraordinaire. Ils ont fait ce que l'on appelle une expérience de mort imminente (EMI). Ils seraient entre 10% et 20%, selon les enquêtes, à connaître ce type d'événement au cours d'un infarctus. Certaines personnes atteintes de pathologies comme le diabète à l'occasion d'un coma hypoglycémique, la maladie de Parkinson ou d'Alzheimer rapportent aussi des sensations qui s'apparentent à une EMI.
Les récits diffèrent mais on retrouve toujours les mêmes scénarios. Certains ont eu l'impression très forte qu'ils étaient morts, d'autres ont le souvenir d'avoir traversé un tunnel entièrement noir ou d'avoir aperçu une immense lumière. Quelques-uns rapportent avoir revu des proches déjà morts et alors que d'autres ont eu le sentiment d'avoir quitté leur corps et d'avoir pu l'observer comme s'ils l'avaient déjà quitté. Tous se souviennent d'avoir ressenti les choses de manière beaucoup plus vive et éclatante que dans la vie de tous les jours avec un sentiment de sérénité et de paix totales. Certains croyants y voient la preuve de l'immortalité de l'âme, les sceptiques en doutent mais n'ont pas d'explication.
Depuis quelques années, les témoignages d'expériences de mort imminente s'accumulent et les scientifiques ne peuvent plus les ignorer. Les recherches pour essayer de comprendre le phénomène lui-même à l'intérieur du cerveau ne font que commencer. Pour y parvenir, il faudra bien un jour installer des électrodes sur le cerveau de plusieurs mourants. On n'en est pas là.
En attendant, une expérience de laboratoire conduite sur des rats apporte un nouvel éclairage sur cette question. Elle montre en effet que durant les quelques secondes qui suivent l'arrêt cardiaque (la mort clinique), le cerveau connaît une activité, plus intense par certains aspects qu'à l'état de veille. Du coup, les auteurs de l'étude publiée cette semaine dans les PNAS se demandent si cette activité cérébrale post mortem pourrait être à l'origine des expériences de mort imminente.
Entre le moment où le cœur s'arrête et cesse d'apporter de l'oxygène au cerveau et le moment où le cerveau arrête de fonctionner (la mort cérébrale), il se passe approximativement une trentaine de secondes. Sans surprise, durant cette très courte période, l'équipe pilotée par Jimo Borjigin, de l'université du Michigan, a enregistré sur les encéphalogrammes de neuf rats en train de mourir un ralentissement de l'activité électrique du cerveau.
Mais en même temps, ils ont observé une augmentation des fréquences cérébrales bien particulières: les oscillations gamma associées à un haut degré de conscience qui ont été mesurées par exemple chez des nonnes en prière ou des moines bouddhistes en méditation. Les oscillations gamma sont aussi présentes dans des moments marqués par une acuité et une sensibilité visuelle accrues. Ils s'appuient sur cette coïncidence pour faire le parallèle avec les expériences de mort imminente
«L'étude est extrêmement intéressante et la méthode rigoureuse, indique Steven Laureys, de l'université de Liège, spécialiste reconnu du coma qui s'intéresse de près à l'EMI. Elle montre bien que l'activité cérébrale enregistrée juste après la mort n'est pas chaotique et qu'il y a une parfaite connectivité entre les différentes parties du cerveau.» Il admet volontiers qu'il est difficile de traduire ces observations animales chez l'humain, mais relève que les scientifiques reconnaissent désormais que, contrairement à ce que pensait Descartes, les animaux ont comme l'homme une forme de conscience.



Les expériences de mort imminente (EMI) en cours ne sont plus boudées par la recherche. Deux exemples.
L'équipe pilotée par Steven Laureys, de l'université de Liège, est en train de collecter le maximum de témoignages de personnes ayant connu une EMI. "Deux doctorants se consacrent entièrement à cette tâche. Les lecteurs du Figaro sont invités à entrer en contact directement avec eux par courriel", déclare Steven Laureys, à l'adresse coma@ulg.ac.be
Une équipe conduite par Sam Parnia, un des grands spécialistes de l'EMI, a lancé en 2008 un programme visant à analyser les témoignages de patients afin de savoir s'ils ont eu une perception extracorporelle en rapport avec la réalité au cours de leur expérience de mort imminente. Vingt hôpitaux sont associés à ce programme baptisé "Awareness during rescucitation" (état de conscience pendant la réanimation). Les premiers résultats devraient être publiés au cours de l'automne.

Mort imminente: des chercheurs l'expliquent scientifiquement

mercredi 14 août 2013, 12:02
Une étude publiée par des chercheurs américains met en évidence une hyperactivité du cerveau pour expliquer les sensations et visions ressenties pendant une expérience de mort imminente
Déplacement le long d'un tunnel, vision d'une lumière intense, rencontre avec des personnes décédées... nombreux sont les témoignages sur ce qui s'appelle l'expérience de mort imminente (EMI). Ce phénomène est vécu par des personnes ayant survécu à un arrêt cardiaque : pendant cette brève période d'inconscience le cerveau ne meurt pas, malgré un apport sanguin insuffisant. Il s'agit d'un état différent de la mort cérébrale qui est, elle, irréversible.
Du côté des médecins, cette expérience sollicite depuis longtemps de nombreuses questions, sans pour autant trouver de réponse exacte. Des chercheurs de l'Université du Michigan pourraient enfin avoir trouvé une explication scientifique. Leur étude, parue dans la revue PNAS, explique que ces sensations correspondent à un regain d'activité cérébrale quand la circulation sanguine cesse dans le cerveau. En clair, l'activité neuronale serait trop sollicitée, ce qui provoquerait des visions.
L'activité cérébrale s'intensifie 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont examiné le cerveau de plusieurs rats. "Cette recherche est la première à analyser les effets neurophysiologiques d'un cerveau mourant", précise Jimo Borjigin, professeur de neurologie à l'Université du Michigan (nord), principal auteur de ces travaux. "Nous sommes partis de l'idée que si cette expérience résulte d'une activité cérébrale, elle devrait pouvoir être détectée chez les hommes comme chez les animaux, même après l'arrêt de la circulation du sang dans le cerveau".
Les chercheurs ont ainsi analysé les activités électriques du cerveau de neuf rats anesthésiés, chez qui ils ont induit un arrêt cardiaque. Dans les 30 secondes, tous les rats ont connu une augmentation de leur activité cérébrale, qui correspondait à un état d'éveil élevé. En outre, ces neurologues ont constaté le même phénomène chez des rats qui s'asphyxiaient. "Nous avons été surpris par les hauts niveaux d'activité du cerveau", relève George Mashour, professeur d'anesthésiologie et de neurochirurgie à l'Université du Michigan, l'un des coauteurs de l'étude.
Des points d'ombre à éclaircir
Selon l'équipe scientifique, cette expérience laisserait penser que le cerveau est capable d'une activité électrique bien organisée aux premiers stades de la mort clinique. "En fait, en état de mort imminente, de nombreuses signatures électriques cérébrales de l'état de conscience excèdent celles enregistrées à l'état de veille, George Mashour. "Cette expérience montre qu'une réduction d'oxygène, ou d'oxygène et de glucose lors d'un arrêt cardiaque peut stimuler l'activité cérébrale", conclut le Dr Borjigin.
Mais à la suite de cette étude, plusieurs chercheurs se sont montrés sceptiques quant à cette interprétation. Certains évoquent le fait que les rats n'ont pas de conscience et que l'intensification de leur activité cérébrale est une simple réaction physiologique quand d'autres mettent en cause une conclusion fondée sur des rongeurs. Enfin, cette étude ne parvient pas à expliquer certaines impressions souvent évoquées après une EMI : le sentiment de flotter au-dessus de son corps ainsi si que les retrouvailles avec des proches décédés. Le mystère n'est donc pas entièrement élucidé.
 
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